Ce mardi 11 septembre, je me suis retrouvée un peu par hasard invitée au concert de Superbus à l'Olympia.
Pas vraiment au fait de la "Superbus discostory", j'apprends alors que Superbus compte déjà 10 ans de carrière et 5 albums dont un best of. Mes souvenirs d'écoute à la radio et mon désir de passer une bonne soirée m'encouragent à enfiler mon humeur d'ado de 16 ans.
Et effectivement, l'attitude du groupe et le charisme teenager de Jennifer Ayache confirment la cible.
Les titres aux textes indigents sur des mélodies pop orchestrées un peu rock, un peu ska, s'enchainent. C'est entrainant et, comme ce soir j'ai 16 ans, je m'éclate. Sauf dans de rares moments de lucidité où il faut se remotiver. Sans connaître les albums, mais identifiant quand mêmes cinq titres, j'ai l'étrange impression que les morceaux sont reproduits calibrés comme en studio. Bref, la prestation live du groupe n'impressionne pas vraiment. Mais on s'en fout, l'ambiance est bonne et, avec les copines, on s'amuse. C'est déjà pas si mal.