Dans ce 5e opus, l'aventurier-archeologue se retrouve en pleine guerre froide sur la piste du crâne de cristal d'Akator.
Le film s'avère formellement assez laid. Certains décors carton pâte ou au contraire trop numériques ne nous aident pas à nous plonger dans cette histoire où l'invraisemblance, qui certes fait partie du jeu, est ici poussée à son paroxysme. La dernière demi-heure de ces 2h20 de récit confus où la surenchère domine semble interminable
Reste le charme d'Harrison Ford, irrésistible, et le plaisir de retrouver Karen Allen, dans le rôle qu'elle tenait dans le premier opus.