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Dada se réjouit de passer sa plus belle robe pour assister à l'inauguration des Nouvelles Galeries avec son époux lorsque celui-ci reçoit un télégramme l'obligeant à se rendre immédiatement à Rome.
Dés cette introduction, la loufoquerie et le rire sont présents. Puis, aussitôt, l'histoire part en vrac, dans une série de saynetes où seule la folie à sa place dans une parodie de pièce de boulevard de très bas de gamme. On comprend alors que le principe de la pièce est de s'épanouir dans un délire total. Mais le délire ne pouvant prendre force et intérêt que sur une base bien structurée, il se transforme ici très vite en n'importe quoi. Et une heure trente de n'importe quoi, c'est long, très long et ce d'autant plus que la distribution est très inégale. Nicole Génovèse (l'auteur), excellente dans le rôle de Dada, ainsi que Marion Gomar en cantatrice finlandaise (une des belles idées de la pièce avec le placard central et quelques qualificatifs très inventifs) nous rendent le temps moins long.