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A Paris, Émir, patriarche et trait d'union de la famille, vient de mourir. Alors que tous se déchirent, Neige, une de ses petites filles, part à la recherche de ses origines jusqu'à aller en Algérie.
Dès les premières minutes, la gêne s'installe. La réalisation, les dialogues, les comédiens, tout semble en roue libre. Le récit ennuie. Même Louis Garrel et son personnage, caution humour du film, finissent par agacer. La quête d'identité de Maïwenn semble un caprice et la réalisatrice pousse jusqu'au paroxysme son goût de l'excès et son égocentrisme. "Tu penses qu'à ta gueule." dit le frère à Maïwenn. Cette phrase semble résumer le film.