Pierre, Jules et Louise se précipitent chez leur parent à la demande urgente de ceux-ci. Tous les trois craignent le pire pour leur mère et leur père qu'ils adorent.
Ce qui impressionne c'est l'immensité du vide, tant sur la forme que sur le fond, qui habite cette pièce. L'histoire, le propos, les dialogues... tout est poussif, redondant, sans intérêt, sans panache. La mise en scène est à l'avenant.
Frédérique Tirmont et Bernard Alane, dans le rôle des parents, s'en sortent honorablement tandis qu'Emmanuel Patron, Elise Diamants et Rudy Milstein font ce qu'ils peuvent avec leur piètre partition, surjouant sans doute pour essayer de donner corps au rien.
Le qualificatif "nul" est ici parfaitement approprié.