Le rideau se lève. Nous découvrons Zand, écrivain, qui a 32 ans aujourd'hui. L'idée d'être plus âgé que ses modèles le terrifie. Il voudrait avoir le talent d'un Balzac. Il raconte à ses parents qu'il a écrit une pièce qui parle d’un imbécile et d'un meurtre. Nous basculons alors dans la pièce de Zand, où nous retrouvons Zand lui même qui travaille pour l'appareil d’État. Intervient alors Fédor, lui aussi écrivain et victime d’une purge.
C'est à peu près à ce moment-là que la fatigue m'a envahie. Faut dire que les fauteuils du théâtre de la Colline sont particulièrement confortables surtout . après une bonne journée de boulot...
Je peux tout de même vous dire que "Le mendiant ou la mort de Zand" est une pièce de Iouri Olecha auteur Russe méconnu disparut en 1960. La mise en scène de Bernard Sobel est riche et au diapason avec la construction non linéaire du récit. Les comédiens évoluent sur un plateau tournant donnant une certaine sensation d'ivresse et de rêve. Des paravents colorés délimitent les pièces et appartements, cachant des portes d'entrée ou de placards.
Au final, après 2h50 de pièce..., Fédor prendra la place de Zand, son travail et sa femme.
*Je ne peux pas vous dire si j'ai aimé la pièce vu que j'ai eu toutes les peines du monde à me concentrer et que j'ai un peu perdu le fil en cours de route....*