Un couple, elle, jeune oie blanche, lui, écrivain plus âgé, vivent dans une très grande maison isolée. Elle, amoureuse, retape cette maison, qui a brûlé jadis, afin d'en faire un paradis. Lorsque des inconnus s'invitent chez eux, l'équilibre déjà précaire du couple bascule totalement.
Le film est construit en deux temps. La première partie joue sur le registre du thriller tenu, intrigant et oppressant. La seconde partie bascule dans le fantastique, l'horreur et le n'importe quoi.
Faute de mieux, si on fait abstraction de la lourdeur et d'une certaine confusion dans le propos et si on n'est pas trop difficile, on peut être intriguer par la métaphore sur le monde et sa destruction. Sur cette Mère Nature fragilisée qui tente de faire entendre raison au Créateur qui ne voit pas venir l'apocalypse.
A voir (ou pas) en salle dès le 13 septembre.