SansCrierArt : Aperçu critique de l'actualité culturelle. Comptes-rendus d'expositions, de pièces de théâtre, de films et de tous autres évènements culturels.

31 janvier 2018 3 31 /01 /janvier /2018 20:18

Dans un immeuble en cours de démolition, une jeune femme est vivement priée de quitter son appartement. Quand elle tente de faire ses cartons, les choses lui résistent.

 

Tout au long du spectacle, on suit l'héroïne (Aurélie Thierrée) en prise, de façon plus ou moins consentante, avec l'esprit et l'histoire des lieux, l'âme des objets et la puissance de  son imagination. Ici, tout est fantasmagorie. Acrobatie, jeux de marionnette, magie, danse... les disciplines se mélangent dans un ensemble qui sert parfaitement la poésie de Victoria Thierrée-Chaplin. Aurélie Thierrée et ses deux acolytes impressionnent par leur virtuosité.

 

Du duo que forment Jean-Baptiste et Victoria (le Cirque invisible), à Aurélie, en passant par James (peut-être le plus impressionnant des quatre), la famille Thierrée est définitivement Reine de l'enchantement.

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