14 décembre 2019
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19:43
Elia Suleiman vit à Nazarreth, en Palestine. Il part observer la vie à Paris et à New-York.
Le récit enchaine de grands moments de vide, beaucoup de clichés et des plaisanteries faciles.
Quitte à enfoncer les portes ouvertes mieux aurait value y aller carrément et remplir ces 1h38mn du burlesque que semble apprécier le réalisateur du film, qui s'avère de plus être un piètre comédien.
Ici, les silences et les 3 phrases de dialogues pseudo poétiques semblent brandis pour parer le film d'une posture intellectuelle qui ne fait guère illusion. On ne retient que la vacuité de l'ensemble.