A Paris, une main s’évade du laboratoire dans lequel elle est conservée. Elle part à la recherche de son corps.

 

Parallèlement, à ce périple, on découvre le parcours de Naoufel qui se confond avec les souvenirs de la main.

 

Ce film d’animation, au-delà de cette histoire aussi originale qu’étrange, porte beaucoup de poésie évoquant notamment la force du souvenir et le poids de la solitude.

 

« J’ai perdu mon corps », grand prix au festival d’Annecy, est nommé aux Oscars.

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