25 avril 2007
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22:24
Jeudi 20 avril, mon premier concert sur ce Printemps.
Les Konki Duets ouvrent la soirée. Trois nanas parisiennes. A l'écoute de l'album, j'avais trouvé ça sympa, un peu trop répétitif toutefois. Sur scène les filles sont un peu réservées, sans fantaisie, très scolaires, très sages, ennuyeuses. De plus, l'ingénieur du son n'était pas de leur côté : le son était bien saturé.
Je n'étais pas mécontente de les voir s'aider la scène à l'inconnue de la soirée : Joan as Police Woman. Changement de dimension. Trés vite,on a senti qu'il y avait du métier, de l'expérience. . En plus de cela, elle est particulièrement sympathique et expansive. Le plaisir d'être là était évident et sa capacité à nous le faire partager trés forte. Bavarde à s'en excuser et une sacrée belle voix. Elle nous a donné de jolis morceaux piano-voix avec quelque chose de Tori Amos et un je sais quoi d'Alicia Keys dans l'utilisation du piano et des morceaux plus rythmés à la guitare.
Joan as Police woman c'est de la pop à l'Américaine bien sympa.
Après ce bon moment de musique et de bonne humeur, c'est avec le sourire jusqu'aux oreilles que nous avons reçu la vedette de la soirée : Peter Von Poehl. Déjà, très fan, du travail d'orphèvre de cet auteur- compositeur-interprête Suédois, j'attendais avec impatience de voir ce qu'il saurait nous proposer sur scène de son superbe mais très doux album.
Déjà, il est arrivé, en plus des incontournables batteur et guitaristes, avec des cuivres ce qui m'a de suite emballée, la richesse des arrangements sera conservée. Et l'intelligence du musicien avait joué puisqu' il avait pris soin de muscler ses arrangements les adaptant ainsi à la scène. Sa jolie voix fut de suite en place et aussi ensorcellante qu'attendue.
Cerise sur le gateau, Peter Von Poehl est un type adorable. Tout en blondeur et longueur, gueule de Vicking tendance gringalet, il affiche sans cesse un sourire radieux. Il ponctue ses chansons de commentaires décalés et d'anecdotes fééeriques en français dans le texte.
Le public a fini le concert debout, refusant de s'aider aux lumières rallumées et obtenant un dernier salut.
Les Konki Duets ouvrent la soirée. Trois nanas parisiennes. A l'écoute de l'album, j'avais trouvé ça sympa, un peu trop répétitif toutefois. Sur scène les filles sont un peu réservées, sans fantaisie, très scolaires, très sages, ennuyeuses. De plus, l'ingénieur du son n'était pas de leur côté : le son était bien saturé.
Je n'étais pas mécontente de les voir s'aider la scène à l'inconnue de la soirée : Joan as Police Woman. Changement de dimension. Trés vite,on a senti qu'il y avait du métier, de l'expérience. . En plus de cela, elle est particulièrement sympathique et expansive. Le plaisir d'être là était évident et sa capacité à nous le faire partager trés forte. Bavarde à s'en excuser et une sacrée belle voix. Elle nous a donné de jolis morceaux piano-voix avec quelque chose de Tori Amos et un je sais quoi d'Alicia Keys dans l'utilisation du piano et des morceaux plus rythmés à la guitare.
Joan as Police woman c'est de la pop à l'Américaine bien sympa.
Après ce bon moment de musique et de bonne humeur, c'est avec le sourire jusqu'aux oreilles que nous avons reçu la vedette de la soirée : Peter Von Poehl. Déjà, très fan, du travail d'orphèvre de cet auteur- compositeur-interprête Suédois, j'attendais avec impatience de voir ce qu'il saurait nous proposer sur scène de son superbe mais très doux album.
Déjà, il est arrivé, en plus des incontournables batteur et guitaristes, avec des cuivres ce qui m'a de suite emballée, la richesse des arrangements sera conservée. Et l'intelligence du musicien avait joué puisqu' il avait pris soin de muscler ses arrangements les adaptant ainsi à la scène. Sa jolie voix fut de suite en place et aussi ensorcellante qu'attendue.
Cerise sur le gateau, Peter Von Poehl est un type adorable. Tout en blondeur et longueur, gueule de Vicking tendance gringalet, il affiche sans cesse un sourire radieux. Il ponctue ses chansons de commentaires décalés et d'anecdotes fééeriques en français dans le texte.
Le public a fini le concert debout, refusant de s'aider aux lumières rallumées et obtenant un dernier salut.