SansCrierArt : Aperçu critique de l'actualité culturelle. Comptes-rendus d'expositions, de pièces de théâtre, de films et de tous autres évènements culturels.

16 septembre 2017 6 16 /09 /septembre /2017 16:28
Liu_Bolin_MEP_sanscrierart.com

La MEP présente Ghost Stories composée de prés de 30 oeuvres de l'artiste chinois Liu Bolin dit "l'homme invisible".

Depuis 2005, jour de la destruction de son atelier d'artiste rasé avec tout le quartier par le gouvernement Chinois, Liu Bolin a décidé de se fondre dans le décor. C'est sa façon, à priori silencieuse mais au final criante, de protester.

Son travail mélange photographie, body art et illusion d'optique. A l'aide d'une équipe de peintres, il pose dans la ville, devant un monument, des étalages, une oeuvre d'art... et peint son corps de façon à ce qu'il disparaisse totalement. La photographie vient immortaliser ce travail. Ces photographies véhiculent des messages simples à saisir mais confondant de vérités.

A voir jusqu'au 29 octobre 2017

Voir dans l'article ci-dessous l'impressionnante oeuvre "Target Charlie"

Voir ici Liu Bolin et JR devant la Pyramide du Louvre

Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
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16 septembre 2017 6 16 /09 /septembre /2017 16:00
Target_charlie_liu_bolin_sanscrierart.com

A l'occasion de l'exposition qui est consacrée à Liu Bolin par la MEP, l'impressionnante oeuvre "Target Charlie" réalisée par l'artiste Chinois en 2015 est exposée.

D'une longueur de 2 mètres et affichant près de 200 couvertures de Charlie Hebdo, l'oeuvre représente 15 personnes dont Liu Bolin lui même, qui se sont laissées peindre le corps pour se fondre totalement au cœur des couvertures du journal.

Liu Bolin apporte ainsi son soutien à l'hebdomadaire satirique victime des terroristes.

A côté de la photographie, une vidéo montre comment l'oeuvre a été réalisée.

Lire ici le compte-rendu complet de l'exposition.

"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
"Target Charlie" de Liu Bolin à la Maison Européenne de la Photographie
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15 septembre 2017 5 15 /09 /septembre /2017 16:43
Pascal Kern_SansCrierArt.com

La galerie Les Douches présente une exposition dédiée au travail de Pascal Kern.

Ce plasticien français (décédé en 2007) mêle sculpture et photographie. Mettant en scène des objets de récup' ou des cucurbitacées, ces photographies fonctionnent par deux ou trois et se répondent, dans une position de positif/négatif. Ces sortes de natures mortes offrent de belles couleurs mises en valeur par un très beau travail sur la lumière. Les oeuvres sont présentées dans des cadres de bois brut qui accentuent un peu plus l'impression que les objets que Pascal Kern emprisonne dans ses images sont réellement présents.

A voir jusqu'au 21 octobre

Pascal Kern à la galerie Les Douches
Pascal Kern à la galerie Les Douches
Pascal Kern à la galerie Les Douches
Pascal Kern à la galerie Les Douches
Pascal Kern à la galerie Les Douches
Pascal Kern à la galerie Les Douches
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20 août 2017 7 20 /08 /août /2017 11:23

Sophie Hustin, artiste peintre et sculpteur, à laquelle on peut trouver un cousinage avec Philippe Hérard et Philippe Ramette. 

https://sophiehustin.com

Sophie Hustion, Biot
Sophie Hustion, Biot
Sophie Hustion, Biot
Sophie Hustion, Biot
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19 août 2017 6 19 /08 /août /2017 10:25

A l'occasion de ses 80 ans, le peintre et sculpteur Eduardo Arroyo a accepté l'invitation de la Fondation Maeght à Saint-Paul de Vence.

Tableaux, dessins, sculptures et installations réalisées de 1964 à nos jours sont présentés de façon thématique. Ces peintures à la fois dramatiques et satiriques, aux vastes aplats de couleurs, ont des allures d'oeuvres surréalistes. On y retrouve le rapport complexe qu'entretient l'artiste avec son pays d'origine qu'il a fui sous Franco, les mouches qu'il associe directement à l'Espagne "le paradis des mouches", la dénonciation de tout totalitarisme, et de nombreuses références à l'art à travers des figures célébres telles que James Joyce, Oscar Wilde, Van Gogh, Rembrandt, Picabia, John Ford.

A voir jusqu'au 19 novembre 2017

 

Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
Eduardo Arroyo "Dans le respect des traditions" à la Fondation Maeght
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18 août 2017 5 18 /08 /août /2017 09:39

Le musée Bonnard de la ville de Le Cannet accueille l'exposition Bonnard/Vuillard qui fut présentée au musée d'Orsay jusqu'en avril dernier.

Composée d'oeuvres issues de la donation Zeineb et Jean-Pierre Marie-Rivière, quittant pour la première fois le musée d'Orsay, l'exposition présente 25 tableaux de Bonnard et 24 tableaux de Vuillard ainsi que quelques dessins et pastels des deux artistes dans leur période Nabies.

L'ensemble est présenté sur les trois niveaux du musée et sous trois thématiques "Complicité artistique" "Présence féminine" "Décors et paysages". La beauté des tableaux et l'originalité des représentations interpellent.

Une belle exposition un peu frustrante car trop courte.

Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
Bonnard / Vuillard au Musée Bonnard Le Cannet
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2 août 2017 3 02 /08 /août /2017 11:55
portraits dans les dunes de Shoji Ueda - MEP - Paris

De 1994 à 2006, la société japonaise d’impression Dai Nippon Printing Co., Ltd., constitue pour la Maison Européenne de la Photographie une importante collection représentative de la photographie japonaise depuis le début des années 1950. Chaque année, la collection de la MEP reçoit des oeuvres des artistes majeurs de la photographie japonaise. Sa collection est composée aujourd'hui de 540 œuvres.


L’exposition en présente près de 350 réalisées par les vingt et un photographes représentés dans la donation. Les oeuvres de Thei Kmura, les portraits dans les dunes de Shoji Ueda, les "Rivers" de Naoya Hatakeyama, le tryptique de Hiromi Tsuchida sur Nagasaki marquent plus particulièrement.

A voir jusqu'au 27 août.

Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
Mémoire et lumière, photographie japonaise à la MEP
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28 juillet 2017 5 28 /07 /juillet /2017 09:08
RODIN, LE CENTENAIRE AU GRAND PALAIS - Sanscrierart.com

Il ne reste plus que quatre jours pour visiter la très belle exposition Rodin proposée par le Grand Palais à l'occasion du centième anniversaire de la mort du sculpteur.

200 oeuvres, connues et moins connues, de tous formats, sont exposées, la plupart non protégées par des vitres, permettant au visiteur de s'approcher au plus près et d'apprécier le rendu de la peau, des chairs celui des plis, de disséquer la puissance d'expressivité des visages et des corps. Des pièces imposantes, le Balzac, la Porte des enfers (version de travail), les Bourgeois de Calais (une reproduction), le fameux Baiser, aux oeuvres toutes petites telles les danseurs et le Nijinsky, le voyage impressionne. On découvre aussi des trésors peu connus parmi les nombreuses oeuvres de plus petites tailles présentées sous vitrines.

Au côté de ce travail très impressionnant, 150 oeuvres d'artistes, disciples ou héritiers, sont présentées. Se trouvent ainsi au côté d'Auguste Rodin, Annette Messager, Picasso, Germaine Richier, César, Giacometti, Matisse, Barry Flabagan, Wilhelm Lehmbruck, Georg Kolbe, Marcheschi, Lucio Fontana, Honoré Daumier, Robert Couturier, Antony Gormley, Markus Lupertz, Zadkine... Si le rapprochement entre les oeuvres de ces artistes et celles de Rodin laisse parfois dubitatif, elles n'en sont pas moins intrigantes ou remarquables.

A voir jusqu'au 31 juillet

Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
Rodin, le centenaire au Grand Palais
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21 juillet 2017 5 21 /07 /juillet /2017 18:36
La baleine de Captain Boomer à Paris - sanscrierart.com

A la stupéfaction générale, les parisiens ont découvert ce matin, un cachalot échoué sur le quai de la Tournelle. Un périmètre de sécurité a été immédiatement dressé tandis que des scientifiques tentaient, en vain, de remettre l'animal à l'eau. Depuis, ils l'arrosent scrupuleusement en attendant de trouver une solution.

Solution qui se révèlera dimanche soir, quand le collectif belge Captain Boomer démontera son impressionnante installation pour aller éveiller les consciences dans une autre ville d'Europe (après Londres, Valence et Rennes notamment). Ces artistes militants ont installé leur fausse baleine, plus vraie que nature, et leurs scientifiques tout aussi factices, pour provoquer l'incrédulité des passants et les débats sur les effets du réchauffement climatique. Sur place, nombreux sont ceux qui s'interrogent sur la nature réelle ou factice de l'animal, ceux qui ont lu la presse du jour admire la crédibilité du dispositif. 

 

Baleine échouée à Paris, par Captain Boomer
Baleine échouée à Paris, par Captain Boomer
Baleine échouée à Paris, par Captain Boomer
Baleine échouée à Paris, par Captain Boomer
Baleine échouée à Paris, par Captain Boomer
Baleine échouée à Paris, par Captain Boomer
Baleine échouée à Paris, par Captain Boomer
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13 juillet 2017 4 13 /07 /juillet /2017 09:55

A l'occasion du 80e anniversaire du peintre anglais David Hockney, le Centre Pompidou organise une exposition retraçant 60 années de travail.

Les oeuvres sont présentées de façon chronologique mettant en évidence ses différentes périodes créatrices. Des peintures anglaises aux ambiances ternes aux aveuglantes couleurs fluos des derniers tableaux en passant par la luminosité de la Californie, les montages photos et les paisibles quatre saisons en vidéo, l'exposition nous mène dans l'univers complexe de Hockney qui mélange et bouscule les styles artistiques. L'ensemble peu laisser plus souvent dubitatif qu'admiratif mais dans chaque salle il y a toujours une oeuvre qui intéresse un peu plus. C'est sans doute la série Doubles Portraits qui est la plus accessible et au final la plus intriguante. Ci-dessous une sélection d'oeuvres tout à fait subjective. 

A voir jusqu'au 23 octobre.

David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
David Hockney, rétrospective au Centre Pompidou
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13 juillet 2017 4 13 /07 /juillet /2017 08:49

Pas moins de 400 oeuvres, réalisées entre les années 20 et les années 60, composent cette belle et grande rétrospective du photographe Américain. Le travail de Evans offre un beau témoignage de ce que fut l'Amérique, tout particulièrement durant les années 30. Il y est donc particulièrement question du "vernaculaire", terme employé par le photographe pour décrire son travail qui a visiblement marqué le commissaire de l'exposition qui le reprend à l'excés dans tous les textes explicatifs qui accompagnent les visiteurs. Les oeuvres sont présentées de façon thèmatiques soulignant le goût de l'authentique du photographe et de l'esthètisme simple du réel. La série métro, celle sur les fermiers et plus généralement les photos de rues sont particulièrement marquantes. A voir jusqu'au 14 août.

Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
Walker Evans au Centre Pompidou
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11 juillet 2017 2 11 /07 /juillet /2017 19:06

Le label Bitume (ex The Wall) prend possession de la Maison des Arts et Métiers de la Cité Internationale Universitaire. Des travaux de réhabilitation des lieux étant programmés dès le 17 juillet, Bitume a convié une centaine d'artistes à recouvrir les murs, sols et plafonds inclus, de leurs oeuvres.

Dès le rez de chaussée et sur 5 étages, artistes en solo ou en crew ont investi l'espace de manière impressionnante. Selon les organisateurs, 3 000 bombes et 700 litres de peinture ont été utilisés pendant trois semaines pour réaliser cette oeuvre gargantuesque. Selon les visiteurs, ces chiffres impressionnent bien moins que la réalité de l'ouvrage qui représente sans doute la création in situ la plus spectaculaire que l'on ait vu à Paris depuis la Tour 13. La diversité des représentations et des techniques utilisées témoigne une nouvelle fois de la richesse de ce mouvement artistique.

On compte parmi les artistes intervenants 1conue, 2AC, Agrume, Akirovitch, Alex Perret, Ander, Ane Laure Maison, Astro, Atomis, Azed, Basto, Bears, Bebar, Bur, Bust the Drip, Caligr, Cannibal Letters, Chabrats, Charline Poncet, Chufy, Cost, Crey 132, Dante, Dubol, Ernesto, Gremone, Hrlck, Jeanjerome, Jeremy Besset, JM Robert, Jo di Bona, Joaquim Romain, Jozu, Jungle, Kalouf, Kesadi, Krab, Lalasaidko, Le mouvement, Lord Urb1, Macka, Mat elbe, Max 123, Meh, Mister Pee, Mr Bonheur, Move, Morne, Moyoshi, Nice Art, Nlko, Nova, Carlos Olmo, Paddy, Paella, Pec, Pesca, Piman, Photograffée, Poter, Raf Urban, Retro, S.Mildo, Sharly, Sifat, Skifo, Skio, Soklak, Swing, Tarek, Twal, Urb1, Vision, Wire, Y?not, Yarps...

Toutes les photos sont sur le blog artstreetic.

A voir jusqu'au 16 juillet inclus de 10h à 22h.
Entrée libre (mais une participation financière sera la bienvenue). 
Maison des Arts et Métiers à la Cité Internationale Universitaire, 17 boulevard Jourdan Paris 14e.
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4 juillet 2017 2 04 /07 /juillet /2017 17:24

Le soleil brille sur la place Igor Stravinsky et

sur les oeuvres de Niki de Saint-Phalle et

Jean Tinguely.

 

Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely, place Igor Stravinsky Paris
Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely, place Igor Stravinsky Paris
Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely, place Igor Stravinsky Paris
Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely, place Igor Stravinsky Paris
Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely, place Igor Stravinsky Paris
Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely, place Igor Stravinsky Paris
Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely, place Igor Stravinsky Paris
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28 mai 2017 7 28 /05 /mai /2017 20:58

La Condition Publique expose, sur plus de 1500 m², 40 ans d'art urbain. Sous le commissariat de la galeriste Magda Danisz, l'exposition retrace en 11 étapes l'histoire du graffiti à travers les oeuvres de 50 artistes du street art français et international.

 

On y retrouve les précurseurs, les médiatiques, des confidentiels et des artistes locaux. André, Gérard Zlotykamien, Jacques Villegle, Keith Haring, Banksy, Blek le rat, Miss Tic, Shepard Fairey, JR, Space Invader, Nick Walker, Jef Aérosol, Retro, C215, l'Atlas, Seth, YZ... figurent à cet impressionnant générique. Les oeuvres exposées ont été prêtées par des galeries et des collectionneurs privés et certaines ont été créées spécialement pour l'exposition. Ces créations sont sans doute les oeuvres les plus intéressantes pour qui connait déjà un minimum les artistes exposés et apprécie le street art quand il conserve son ADN : être conçu In Situ.

Le coeur de l'exposition prend place dans la halle B, la cours est réservée aux artistes régionaux, les murs extérieurs du bâtiment accueillent des oeuvres d'artistes de tous horizons tandis que Jef Aérosol investit de façon impressionnante le toit-terrasse (la galerie photo est ici).

La Condition Publique dont les évènements accueillent en général au grand maximum  5 000 visiteurs explose ici tous les compteurs et vise les 30 000 entrées. En raison de ce beau succès, Street Génération(s) est prolongée jusqu'au 9 juillet.

 

 

Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
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Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
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Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
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Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
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Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
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Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
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Street Génération(s) à la Condition Publique à Roubaix
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21 mai 2017 7 21 /05 /mai /2017 12:01

Après le coréen Lee Bae, le japonais Tanabe Shouchiku III et le chinois Jiang Dahi, le musée Guimet invite la française Prune Nourry. Cette carte blanche sort exceptionnellement de l'unique rotonde, et s'invite dans les salles de la collection permanente. Quinze oeuvres réalisées durant ces dix dernières années sont présentées en duo avec quinze pièces historiques. Un bouddha géant, créé in situ, dans l'esprit du projet Imbalance de l'artiste, accompagne la visite sur les quatre étages du musée.

Si le principe des duos oeuvres historiques et oeuvres contemporaines semble parfois un peu bancal, on a plaisir à voir les créations de l'artiste dans ce très beau lieu. Le travail de Prune Nourry est basé sur le déséquilibre démographique. La majorité des oeuvres présentées sont issues des projets Terracotta Daughters et Holy Daughters qui ont donc pour sujet la place des femmes dans la société.

Le projet Terracotta Daughters (2013) consistait en la création d'une armée de 108 jeunes filles chinoises, symboles de toutes celles qui ne sont pas nées en raison de la loi sur l'enfant unique. Créée à l'image de l'armée de Qin à Xian, l'oeuvre originale a été enfuie en Chine dans un lieu tenu secret. Au musée Guimet, on peut, entre autres, voir huit statues grandeur nature représentant les huit écolières qui ont servi de modèles et une reproduction petit format de l'armée entière en porcelaine.

Le projet Holy Daughters (2010) traite du paradoxe existant entre la vénération portée à la vache, souvent sacrée, et le rejet des petites filles, notamment dans les cultures indienne et asiatiques. En 2010, Prune Nourry a réalisé des sculptures représentant le corps d'une jeune fille à tête de vache et les a déposé en Inde, dans les rues, pour déclencher un dialogue avec la population. Au musée Guimet, on peut notamment voir Standing Holy et Walking Holy. Sont aussi exposées plusieurs pièces du projet Process qui est présenté par l'artiste comme "une archéologie du processus de fabrication de la sculpture."

A voir au Musée National des Arts Asiatiques Guimet jusqu'au 18 septembre 2017

Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
Prune Nourry, Holy carte blanche au musée Guimet
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11 mai 2017 4 11 /05 /mai /2017 18:13

L'artiste plasticienne Prune Noury dont l'oeuvre Terracota Daughters, exposée au 104 en avril 2014, nous avait tant impressionnée, signera ce vendredi 12 mai, à la librairie du Centre Pompidou,  l'ouvrage Serendipity. 

Ce livre, rétrospectif de 10 ans de travail, publié aux éditions Actes Sud, présente les voyages, les rencontres et les recherches qui ont donné naissance aux oeuvres Bébés domestiques, Process, le tryptique sacré Holy Daughters-Holy River et Terracotta Daughters.

*Signature à la librairie Flammarion du Centre Pompidou vendredi 12 mai de 18h30 à 20h.

*Prune Nourry est exposée au Musée Guimet jusqu'au 18 septembre.

 

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28 avril 2017 5 28 /04 /avril /2017 16:31

La galerie Les Douches présente une soixantaine d'oeuvres réalisées par Ray Mezker dans les années 60. Le photographe Américain, aujourd' hui décédé, a consacré l'ensemble de son travail au noir et blanc. Ses oeuvres impressionnent par leur composition très graphique et la finesse de leur tirage. Le photographe aimait retravailler ses photographies sur les négatifs et multiplier les manipulations pour explorer sa créativité. Aux Douches, on remarque des montages ainsi que des oeuvres juxtaposant plusieurs clichés. Les photos les plus marquantes transpirent une certaine solitude dans les rues des Etats Unis ou d'Europe.

A voir jusqu'au 27 mai - Galerie Les Douches - 5, rue Legouvé Paris 10e

Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
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Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
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Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
Ray Metzker,  Abstraction à la galerie Les Douches
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19 avril 2017 3 19 /04 /avril /2017 14:44

L'artiste vénézuélien expose 15 oeuvres réalisées entre 2010 et 2016. Il s'agit d'art cinétique prenant la forme de mobiles programmés composés de la répétition de formes géométriques simples. Ces oeuvres s'animent dans l'espace selon des chorégraphies d'une durée précise et aux mouvements milimétrés. La précision de chaque séquence est impressionante. Ingénieur de formation, Elias Crespin est venu à l'art inspiré notamment par Jésus Raphael Soto ; tous deux présentaient d'ailleurs des oeuvres à la fameuse exposition Dynamo au Grand Palais en 2013. L'oeuvre Circulation inception, seule oeuvre accompagnée d'une musique composée pour l'occasion, est sans doute la plus impressionnante, la musique participant particulièrement efficacement à l'effet hypnotique. Dans un autre genre, Tetralineados Fluo vert, oeuvre plongée dans le noir, fascine par la fluidité de ses mouvements qui la rapproche du vivant.

Bien que cela n'est pas beaucoup de sens, l'art cinétique ne pouvant s'apprécier qu'au réel, vous trouverez ci-dessous des photos des oeuvres exposées et  ici, une vidéo de Laurence V.

A voir jusqu'au 6 mai. Entrée gratuite.

Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
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Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
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Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
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Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
Elias Crespin, Slow Motion à la Maison de l'Amérique Latine
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1 avril 2017 6 01 /04 /avril /2017 20:13

Le musée Maillol consacre une belle exposition à Paul Rosenberg, l'un des plus grands marchands d'art de la première moitié du XXe siècle et grand promoteur de l'art moderne. L'exposition divisée en deux grandes parties présente une soixantaine d'oeuvres. La première partie, la plus intéressante, affiche une scénographie qui évoque la galerie du 21, rue de la Boétie. De grandes photos noir et blanc de la galerie grandeur nature, des murs bordeaux, une moquette épaisse, des invitations aux expositions, des contrats, de la correspondance guident l'imagination du visiteur vers ce que devait être ce lieu prestigieux accueillant des peintres déjà confirmés et surtout de futurs artistes illustres. Des oeuvres de Picasso, Braque, Léger, Matisse, Laurencin, Monet, Seurat, Sisley, Manet, Cézanne... sont exposées. La seconde partie est consacrée à la main mise du régime nazi sur l'art en général dont les biens de Paul Rosenberg. Une dizaine d'œuvres représentantes de l'art officiel allemand, en opposition à l'art considéré comme dégénéré, sont exposées ainsi que des documents expliquant la spoliation des oeuvres chez les particuliers et dans les musées nationaux, la transformation de la galerie du 21, rue de la Boétie en haut lieu de l'antisémitisme puis l'interception d'oeuvres en partance pour l'Allemagne lors de la débâcle. Le parcours se termine par l'évocation de la relation qui unissait Maillol et Rosenberg, l'exposition d'oeuvres de la période New-yorkaise (dont une de Nicolas de Staël et le portrait d'Anne Sinclair par Marie Laurencin) et par Profil bleu devant la cheminée, oeuvre de Matisse retrouvée en 2012 dans la collection du centre d'art norvégien Henie-Onstad et rendue à son vrai propriétaire, la famille Rosenberg.

Cette exposition dessine le génie d'un homme d'art qui présenta côte à côte les rassurants impressionnistes et les innovants modernistes pour mieux vendre ces derniers et s'est battu jusqu'à sa mort pour récupérer ses biens détournés par le régime nazi.

À voir jusqu'au 23 juillet 2017

Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
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Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
Paul Rosenberg - 21, rue de la Boetie au Musée Maillol
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23 mars 2017 4 23 /03 /mars /2017 18:54

Difficile de ne pas être informé de l'existence de cet évènement tant les médias en ont parlé. Il est vrai qu'il n'est pas courant que 12 oeuvres de Johannes Vermeer soient réunies en une même exposition. Seuls 37 tableaux dispersés dans les musées et collections privées dans le monde sont aujourd'hui identifiés comme ayant été exécutés par le maître Hollandais. Alors pour les amoureux de la peinture, l'occasion d'en voir 12 d'un coup ne se rate pas. 

Le musée du Louvre, s'est associé à la National Gallery de Dublin et la National Gallery of Art de Washington, pour organiser cette réunion de près de 70 toiles de maîtres hollandais de la peinture de genre. On retrouve ainsi autour des oeuvres de Vermeer, celles de Gérard Dou, Gérard ter Borch, Jan Steen, Pieter de Hooch, Gabriel Metsu, Caspar Netscher, Frans van Mieris... Leurs peintures affichent le témoignage flatteur d'une époque de grande prospérité aux Pays-Bas. La scénographie, organisée par thèmes, met en évidence les similitudes, tant dans les inspirations que dans les compositions, qui existent entre les différents travaux de ces peintres. Tous, à la fois concurrents et confrères, s'inspiraient du travail des autres. Sans être fan de Vermeer et de sa lumière un peu floue, un peu laiteuse, on est impressionné par la précision de son pinceau, la beauté de ses compositions et l'intensité qui ressort de chaque oeuvre. Ici, Le Géographe, La Lettre et La Laitière, les oeuvres les moins marquées par ce blanc de chaux, impressionnent particulièrement. A côté, les tableaux des autres peintres font belle figure, telles Femme à sa toilette de Jan Steen, Conversation galante de Gérard ter Borch, Jeune femme lisant une lettre de Gabriel Metsu, Le verre levé de Peter de Hooch et bien d'autres...

A voir jusqu'au 22 mai 2017. Réservation obligatoire.

Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
Vermeer et les maîtres de la peinture de genre au Louvre
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