SansCrierArt : Aperçu critique de l'actualité culturelle. Comptes-rendus d'expositions, de pièces de théâtre, de films et de tous autres évènements culturels.

8 janvier 2015 4 08 /01 /janvier /2015 21:17

Charlie Hebdo - Coco - ww;zabouille.over-blog.com

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 23:00

Sur-le-chemin-de-l-ecole---www.zabouille.over-blog.com.jpgPascal Plisson nous invite à accompagner Jackson au Kenya, Zahira au Maroc, Carlito en Patagonie, Samuel en Inde sur le chemin qui les mène à l'école. Un chemin parsemé d'embûches, interminable et difficile. 

On suit l'enthousiasme et le courage de ces enfants qui ont soif de savoir, de s'instruire pour grandir et s'offrir une vie meilleure que celle de leurs parents. Les enfants sont attachants et admirables, les paysages magnifiques et le propos sincère sans être mièvre.

 

Date de sortie en salle : 25 septembre 2013

Date de sortie en DVD : 23 avril 2014

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4 janvier 2015 7 04 /01 /janvier /2015 18:37

Hippocrate-www.zabouille.over-blog.com.jpgBenjamin intègre son premier stage d'interne en médecine dans le service de son père. Il y rencontre Abdel, médecin algérien contraint de faire son internat pour pouvoir exercer en Fance.

Le film vaut surtout pour la qualité de son interprétation et pour la peinture quasi documentaire du milieu hospitalier. Vincent Lacoste en oie blanche, un peu con, un peu candide et Reda Kateb en médecin humaniste, sont parfaits. Leurs personnages se révèlent face à Madame Richard (Jeanne Cellard, particulièrement émouvante) une patiente âgée. A travers son histoire, Litli démontre toutes les difficultés auxquelles le personnel soignant doit faire face : matériel défaillant, sous effectif, politique de l'occupation des lits, médecins étrangers exploités, acharnement thérapeutique... 

 

Date de sortie en salle : 3 septembre 2014

Date de sortie enDVD : 7 janvier 2015

 

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20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 23:26

Gone-girl---www.zabouille.over-blog.com.jpgPensant retrouver sa femme Amy, en rentrant chez lui, Nick découvre la maison vide et des traces de lutte dans le salon. Il appelle aussitôt la police.

Le non jeu de Ben Affleck sert ici plutôt bien son personnage et Rosamund Pike est effrayante à souhait. Le scénario est au démarrage finement ficelé. Le suspens est bien tenu même si l'évidente critique des médias nous aiguille rapidement sur la culpabilité (ou non) du héros. Le film se découpe en trois parties. La première, d'une heure nous tient en haleine. La deuxième nous séduit 40 minutes et lasse les 20 suivantes. Et dans la dernière partie d'un quart d'heure, installant une fin rebondissante improbable, le film semble soudain interminable et lourdingue. Preuve une fois de plus que rares sont les histoires nécessitant un développement de plus d'1h45. À voir pour l'originalité du scénario et son développement dans ses 100 premières minutes.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 22:44
Qu'Allah bénisse la France d'Abd Al Malik

Abd Al Malik adapte au cinéma son roman autobiographique. Il y raconte ses années d'adolescence dans une cité de Strasbourg où excellent élève, tout jeune converti à l'Islam, déjà rappeur et petit délinquant, il est entouré d'une jeunesse sacrifiée dont on compte sur les doigts d'une main ceux qui s'en sont sortis.

Réalisé en noir et blanc (on pense évidemment à La Haine), le film se pare d'une grande noirceur, non sans humour et avec beaucoup d'humanité. On y retrouve la poésie d'Abd Al Malik en voix off mais aussi dans la réalisation soignée, le sens du cadre et du montage. Pour un premier film, ça a de la gueule.

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18 décembre 2014 4 18 /12 /décembre /2014 21:46

Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu www.zabouille.over-blog.Claude et Marie Verneuil, catholiques de Chinon, voient trois de leurs filles épouser un juif, un musulman et un asiatique.

Aucun cliché ne manque. Caricatures du juif, de l'arabe, de l'Asiatique, du noir, du petit bourgeois catholique et de l'artiste bobo constituent le sujet de ce film d'1h45. Ce qui ne laisse pas beaucoup de place à la finesse. A vrai dire aucune.

Date de sortie en salle :16 avril 2014

Date de sortie en DVD : 24 septembre 2014

 

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7 décembre 2014 7 07 /12 /décembre /2014 15:38

Vincent-Dedienne---Hebertot---www.zabouille.over-blog.com.jpgVincent Dedienne présente "S'il se passe quelque chose", un curieux spectacle entre stand-up et one man show. Comédien formé au conservatoire, Dedienne posséde une belle présence scènique et un capital sympathie tel qu'il captive l'auditoire dés les premières secondes. Le spectacle, marqué par l'absurde, alterne de grands moments de rire (et fous rires), d'autres de poésie-mélancolie (vidéos à l'appuie) et 1 ou 2 moments un peu ratés. Cette alternance donne un rythme étrange au spectacle auquel on s'abandonne, heureux de cette rencontre avec un artiste pas ordinaire.


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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 22:29

La-mere-www.zabouille.over-blog.com.jpgAnne, la soixantaine, enfants élevés et partis, mari occupé par son travail, se sent inutile et abandonnée. Elle use et abuse des médicaments et de l'alcool pour s'aider à vivre.

 

Florian Zeller met en scène les réflexions, les crises de rage et de désespoir de son héroïne sans que l'on comprenne très bien si ces séquences sont réelles ou fantasmées. Et sans que l'auteur ne place dans son récit d'indice permettant de les identifier. Du coup, les scènes semblent avoir été composées sans soucis d'une quelconque stratégie créative, à laquelle s'ajoute une écriture assez peu remarquable. L'ensemble en est très artificiel et sans grand intérêt. 

Malgré cela, on est tenu par la prestation magistral de Catherine Hiegel et la mise en scène de Marcial di Fonzo Bo qui donnent un peu de mystère et d'épaisseur à la proposition.

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1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 22:14

Truly-Design---Pegasus---Fondation-EDF---Nov.-2014--2-.JPGLa fondation EDF propose une exposition sur le street art dont l'objectif avoué est de présenter les nouvelles techniques du mouvement.


L'exposition présente en entrée un historique du graffiti de la préhistoire (!?) à nos jours. Une belle anamorphose du collectif Truly Design domine la première salle ainsi que, dans un moindre format, une de leur oeuvre en 3D. Présents également les mannequins de Mark Jenkins et, à l' étage, une oeuvre de C215, une autre de Vhils et en photos celles d'Isaac Cordal. Des videos permettent de voir des artistes au travail. Un écran présente le jeu vidéo dans lequel ont été intégrés des oeuvres de C215, c'est intéressant mais ce n'est pas du street art, plutôt le travail d'un street artiste qui se diversifie. Et c'est sans doute le problème de cette exposition qui présente des formes d'art nées des nouvelles technologies mais parfois très éloignées du street-art. C'est le cas des deux ateliers en libre service proposés : le Water Light Graffiti d'Antonin Fourneau et Picturea une application numérique qui permet de dessiner sur écran. Deux outils malins qu'on imagine mal découvrir au détours d'une rue ou sur les murs d'un chantier.

L'ensemble est un peu court, foutraque et au final décevant. La dimension politique et sociale du graffiti est totalement occultée. Le sujet annoncé semble un prétexte.

Le street-art est à la mode et c'est un peu la ruée des galeries et lieux d'exposition sur le phénomène, quitte à le dénaturer. La question vient, évidente : le street-art sorti de la rue est-il toujours du street-art ?

 

D'autres infos sur le street-art sur www.artstreetic.over-blog.com

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1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 16:23

L-homme-qu-on-aimait-trop---www.zabouille.over-blog.com.jpgEn 1976, Agnes Le Roux de retour d'Afrique arrive à Nice. Elle y rencontre Maurice Agnelet, avocat-conseil de sa mère, la propriétaire du casino "le Palais de la Méditerranée" en difficulté financière.

Le procés du meutre d'Agnés Le Roux a tenu les médias en haleine jusqu'en 2014 année de la condamnation de Maurice Agnelet, plus de 35 ans après la disparition de la jeune femme. La force du film réside dans le soin que Téchiné met à rester le plus neutre possible et à la justesse des interprétes, Guillaume Canet, Catherine Deneuve et Adéle Haenel une nouvelle fois impressionnante. Un film un petit peu trop long mais passionnant.

Date de sortie en salle : 16 juillet 2014

Date de sortie en DVD : 19 novembre 2014

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30 novembre 2014 7 30 /11 /novembre /2014 17:27

Augustine-Kofie---Pavillon-Carre-Beaudouin---Paris-20e---1.JPG

Augustine-Kofie---Pavillon-Carre-Beaudouin---Pari-copie-2.JPG

L'artiste Américain, Augustine Kofie a investi le mur du Pavillon Carré Baudouin, rue de Ménilmontant.

Plus de photos sur artstreetic.over-blog.com

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26 novembre 2014 3 26 /11 /novembre /2014 16:42

Elisabeth-Reynaud--Niki-de-SaintPhalle---www.zabouille.over.jpgSi vous aussi avez été totalement conquis par la rétrospective Niki de Saint-Phalle au Grand Palais, vous adorerez poursuivre la découverte de l'artiste avec le livre d'Elisabeth Raynaud.

L'auteur y dessine, aux détours de multiples anecdotes, un portrait touffu de l'artiste. Le récit est, à l'image de Niki de Saint-Phalle, faussement désordonné dans une écriture originale et bousculée. Plutôt déstabilisant dans les premieres pages, très vite ce style nous fait toucher au plus près la personnalité de l'artiste et l'origine de ses oeuvres.

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23 novembre 2014 7 23 /11 /novembre /2014 22:02

Dans-la-cour---www.zabouille.over-blog.com.jpgAntoine, musicien dépressif sans emploi, se fait engager comme concierge dans une co-propriété privée. Parmi les propriétaires se trouve Mathilde, femme mûre et active, peu à peu submergée par ses angoisses.


A voir pour le Duo Deneuve-Kerviel, parfaits tous les deux. L'histoire manque de peps pour intéresser vraiment.


Date de sortie en salle : 23 avril 2014

Date de sortie en DVD : 3 septembre 2014

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21 novembre 2014 5 21 /11 /novembre /2014 23:47

Comment-vous-racontez-la-partie-www.zabouille.over-blog.com.jpgNathalie Oppenheim, écrivain récemment primée, est l'invitée des samedis littéraires de Vilan en Voléne. Elle est accueillie par Roland, animateur socioculturel, lettré et passionné. Dans la salle polyvalente, face au public, elle effectue des lectures et est interviewée par Rosanna Ertel-Keval, journaliste littéraire vedette et enfant du pays.


Ici, il est question de littérature, de création, de jeux de rôle, de rapports de force, de snobinisme, de frustration...

Les personnages, pourtant caricaturaux, sont si riches, les situations pourtant convenues si ouvertes, les rapports humains si ambigus, les échanges si tortueux et les silences si parlant qu'on peut percevoir dans cette pièce de multiples messages.


Dominique Reymond est, une fois de plus, excellente dans le rôle de la journaliste snobinarde, en perpétuelle représentation, persuadée d'avoir percé à jour l'artiste et qui veut absolument lui faire dire ce qu'elle veut entendre. Zabou Breitman est très juste dans le rôle de l'écrivain, fausse oie blanche, qui accepte l'idée de l'interview publique sans en jouer tout à fait le jeu.L'animateur magnifique est interprété par Romain Cottard tout en délicatesse comique. André Marcon campe un maire, vieux politicard, à tue et à toi, plus vrai que nature.

Les décors, la lumière et la mise en scène sont au diapason de la qualité des interprètes. Le travail sur le son, jusqu'a celui des costumes, est  particulièrement soigné.

Le récit est parfaitement mené. Le rythme travaillé ménage silences et temps morts entre les scènes d'affrontement, d'intimidation, de gêne polie et de pure burlesque.

Certains y voient du mépris pour la province. Pourtant, le trait qui peint la candeur provinciale n'est pas plus épais que celui qui dessine la suffisance parisienne. Et on rit (beaucoup) tout autant des simagrées de la journaliste que des enthousiasmes de l'animateur local.

A voir !

Jusqu'au 6 décembre au théâtre du Rond Point puis en tournée en Province.

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19 novembre 2014 3 19 /11 /novembre /2014 00:36

Lulu-femme-nue-www.zabouille.over-blog.com.jpgA Saint-Gilles-Croix-de-Vie, après avoir passé un entretien d'embauche qui l'a humiliée, Lulu décide, un peu par hasard, de ne pas rentrer à Angers et de s'éloigner quelques temps de son mari et de ses enfants. De belles rencontres lui redonneront le courage qui lui manque.

 

Karine Viard, pour ses retrouvailles avec Solveig Anspach, est à nouveau magnifique dans ce rôle de femme simple qui s'offre un peu de liberté. 

A ses côtés Bouli Lanners, Philippe Rebot, Pascal Demolon, Marie Payen, Solène Rigot et Nina Meurisse sont parfaits de délicatesse et de burlesque. Cerise sur le gâteau de ce casting impeccable, Claude Gensac, en vieille dame un peu seule.  

Un beau moment.

 

Date de sortie en salle : 22 janvier 2014

Date de sortie en DVD : 11 juin 2014

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18 novembre 2014 2 18 /11 /novembre /2014 18:02

Abus-de-faiblesse---www.zabouille.over-blog.com.jpgMaud, récemment hémiplégique suite à une hémorragie cérébrale, engage comme comédien principal de son prochain film, Vilko, escroc notoire.


Catherine Breillat raconte sa rencontre malheureuse avec Christophe Rocancourt. Isabelle Huppert est impressionnante dans le rôle de la réalisatrice emprisonnée dans un corps qui ne répond plus et victime consentante de Kool Chen lui même très bon dans le rôle du manipulateur. Breillat conte son histoire avec distance et un certain humour. Jamais, elle ne tombe dans le misérabilisme ou le pathos. Cela donne au film un ton étrange assez fascinant.

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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 00:01

Kinship-www.zabouille.over-blog.com.jpgA la seconde où Isabelle Adjani apparaît me vient le souvenir du personnage d'Édith Scob dans "Les yeux sans visage". Il faut quelques minutes pour que cette pensée aussi inattendue que dérangeante s'efface et laisse place à une attention soutenue pour la pièce. Le texte confirme rapidement que les auteurs contemporains disposant d'une belle plume ne sont pas légion. L'intrigue sans aucune originalité se tisse à grosses ficelles, les sentiments se dessinent à gros traits et les situations sont dignes d'un mauvais roman de gare. Les voix off évoquant les pensées des personnages ou celle d'Adjani clamant Phèdre avec une emphase surannée ajoutent au ridicule. 

Les scènes courtes (22 en 1h45...) se succédent séparées par des "noirs" permettant les changements de décors que le metteur en scène a heureusement voulus très épurés n'ajoutant donc pas de lourdeur à la lourdeur. Il habille tout de même le vide global d'un immense écran vidéo positionné en fond de scène. Les jolies images noir et blanc projetées apportent une pointe d'esthétisme à l'ensemble. 

Isabelle Adjani adopte un jeu grandiloquent totalement décalé par rapport au  ton porté par le texte et celui adopté par ses partenaires, Niels Schneider et Vittoria Scognamiglio, qui s'en sortent avec honneur en jouant avec vivacité et une simplicité moderne plus approprié à ce style théâtrale.

Une pièce qu'on oubliera vite pour conserver d'Isabelle Adjani de bien meilleurs souvenirs.

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1 novembre 2014 6 01 /11 /novembre /2014 00:06

Magic-in-the-moonlight--www.zabouille.over-blog.com.jpgUn magicien célèbre, content de lui, qui ne croit ni aux esprits, ni à Dieu, ni vraiment à l'amour, va voir ses certitudes bousculées par une jolie rousse aux curieuses pratiques.

Cette histoire simple se regarde avec plaisir, comme un doux moment. Les comédiens sont parfaits, les images de la Côte d'Azur, telles de beaux dessins, évoquent celles du très romantique Elle et Lui. Mais ce sont surtout les dialogues savoureux et drôles qui enchantent.

Un Woody Allen charmant qu'on risque toutefois d'oublier assez vite.

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25 octobre 2014 6 25 /10 /octobre /2014 21:43

Mommy---www.zabouille.over-blog.com.jpgDiane récupère, son fils Steve qui souffre de TDAH et vient de se faire virer d'un établissement spécialisé.

 

On retrouve dans Mommy la créativité visuelle, le soin esthétique tout particulier que Dolan donne à ses films. C'est ce qui séduit immédiatement. L'image est belle, la lumière très travaillée, le montage précis. Dolan joue sur la vitesse de l'image, sur le son mais aussi sur la dimension de l'écran. Ainsi son film s'inscrit 90% du temps dans un format carré auquel les filtres qu'il utilise donnent une curieuse allure d'Instagram. Ce que Dolan maitrise parfaitement également c'est la qualité des dialogues. Ici aussi il s'en donne à coeur joie et l'argot québécois que parlent ses personnages accentue cette impression de virtuosité. Ca va vite, ça cogne juste, c'est souvent drôle. On retrouve aussi ses actrices fétiches Anne Dorval et Suzanne Clément, déjà au générique de "J'ai tué ma mère", toutes deux inoubliables. Dans le moins bien, on n'échappe pas à une BO ultra présente. A la limite de l'overdose. D'autant plus que les goûts musicaux de Dolan ne font pas vraiment dans l'originalité ou l'undergound. Une très belle scène de danse regroupant les trois personnages principaux perd un peu de son charme accompagnée par une chanson de Céline Dion. L'intensité des émotions jouées par les comédiens est desservie par la musique. C'est d'ailleurs souvent dans les scènes plus sensibles que Dolan pêche par excès, d'esthétisme, de musique, de pathos. Il n'en demeure pas moins un des réalisateurs les plus créatifs et percutants.

 

 

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24 octobre 2014 5 24 /10 /octobre /2014 14:42

A la Fiac sous la Nef du Grand-Palais, de grandes galeries venues du monde entier exposant leurs artistes. Cela va de l'illustre inconnu (pour les profanes que nous sommes) à Picasso (par exemple). Sélection vue cette année : 

 Francesca Pasquali 

Francesca-Pasquali.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   Gideon Rubin                       

    Gideon Rubin - After Monet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Latifa Echakhch

    Latifa-Echakhch---Tambour-77-.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Kimsooja 

     Kimsooja---To-breathe--2--copie-1.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   Philippe Grono (photo)                                          Raoul De Keyser                                 

  Philippe-Grono---Ascenseur-n-1-26-Broadway-NY--2-.JPG                       Raoul-de-Keyser.JPG  

                                          

P1080423.JPG



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